Stuart Little 2 Rob Minkoff (réalisateur (s)) Geena Davis (acteur (s)) Hugh Laurie (acteur (s))
À New York, Stuart, le souriceau adopté par les Little (Geena Davis et Hugh Laurie) est désormais un membre à part entière de la famille. Entouré d’affection, il s’inquiète néanmoins de voir le jeune George le délaisser pour s’amuser avec les garçons de son âge. L’arrivée de Margalo, jeune oiselle tombée du ciel en tentant d’échapper à un...
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Description de Stuart Little 2
À New York, Stuart, le souriceau adopté par les Little (Geena Davis et Hugh Laurie) est désormais un membre à part entière de la famille. Entouré d’affection, il s’inquiète néanmoins de voir le jeune George le délaisser pour s’amuser avec les garçons de son âge. L’arrivée de Margalo, jeune oiselle tombée du ciel en tentant d’échapper à un redoutable faucon, va permettre à Stuart de jouer les héros, ravi d’avoir enfin trouvé une amie de sa taille. Mais Margalo n’est pas aussi innocente qu’elle veut bien le lui faire croire…
Déjà responsable en 1999 du premier Stuart Little, Rob Minkoff s’est laissé convaincre de porter à l’écran en 2002 une seconde aventure du célèbre souriceau imaginé par E. B. White, d’après un scénario original de Bruce Joel Rubin. Plus mouvementé que le précédent, Stuart Little 2 aligne les scènes d’action à un rythme soutenu et comprend de nombreuses séquences tournées en extérieur (fait assez rare dans le domaine de l’animation). Néanmoins, même si les prouesses techniques sont époustouflantes (acteurs, animaux et personnages en images de synthèse apparaissent simultanément dans un même plan), les dialogues et le récit manquent d’inspiration. Le New York de conte de fées et la caricature de la famille modèle américaine (les parents constamment bêtifiants) agacent même quelque peu. Seuls les plus jeunes seront ravis du voyage.
Interactivité : 4/5
Un programme conçu pour le plaisir des petits et des grands : deux options pour le commentaire audio, écouter les explications un peu rébarbatives du réalisateur et l’équipe du film, ou profiter des anecdotes auxquelles on accède par une icône cousine du lapin blanc du DVD de Matrix. Trois reportages et un making of instruiront les plus curieux. Quant aux tout-petits, ils s’amuseront avec le jeu interactif, le livre illustré (avec option de commentaire pour ceux qui ne savent pas encore lire), la présentation du jeu PlayStation et la galerie des plus jolis dessins d’enfants représentant Stuart. Tous les suppléments sont doublés ou sous-titrés.
Image : 5/5
Son : 5/5
Déjà responsable en 1999 du premier Stuart Little, Rob Minkoff s’est laissé convaincre de porter à l’écran en 2002 une seconde aventure du célèbre souriceau imaginé par E. B. White, d’après un scénario original de Bruce Joel Rubin. Plus mouvementé que le précédent, Stuart Little 2 aligne les scènes d’action à un rythme soutenu et comprend de nombreuses séquences tournées en extérieur (fait assez rare dans le domaine de l’animation). Néanmoins, même si les prouesses techniques sont époustouflantes (acteurs, animaux et personnages en images de synthèse apparaissent simultanément dans un même plan), les dialogues et le récit manquent d’inspiration. Le New York de conte de fées et la caricature de la famille modèle américaine (les parents constamment bêtifiants) agacent même quelque peu. Seuls les plus jeunes seront ravis du voyage.
Interactivité : 4/5
Un programme conçu pour le plaisir des petits et des grands : deux options pour le commentaire audio, écouter les explications un peu rébarbatives du réalisateur et l’équipe du film, ou profiter des anecdotes auxquelles on accède par une icône cousine du lapin blanc du DVD de Matrix. Trois reportages et un making of instruiront les plus curieux. Quant aux tout-petits, ils s’amuseront avec le jeu interactif, le livre illustré (avec option de commentaire pour ceux qui ne savent pas encore lire), la présentation du jeu PlayStation et la galerie des plus jolis dessins d’enfants représentant Stuart. Tous les suppléments sont doublés ou sous-titrés.
Image : 5/5
Son : 5/5
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