Georges Hyvernaud

Juin 1940. Des centaines de milliers de vaincus s'acheminent vers les stalags de l'Allemagne nazie, sous les coups et les cris du vainqueur. Georges Hyvernaud, instituteur charentais, marche dans ce troupeau en guenilles, hébété de faim, de fatigue... Lire la suite

À l'aube des années 1950, dans la grisaille provinciale de l'après-guerre, un homme tente d'écrire le roman de sa vie, découragé par sa propre médiocrité et la petitesse ordinaire de son entourage. Le notable, le gardien de square, l'enseignant, l... Lire la suite

Le wagon à vaches « peut se définir comme le journal d'un prisonnier de l'après-guerre - un homme quelconque -, enfermé dans son petit métier, dans des fréquentations médiocres et des souvenirs banals, captif de sa ville. Incompréhensible. »,... Lire la suite

La peau et les os : c'est ce qui reste à Georges Hyvernaud en 1945, quand il rentre d'Allemagne après cinq ans de captivité. Une version nue de l'humanité où, pour échapper à la folie, on doit entre autres faire semblant, n'être plus qu'un semblant... Lire la suite

Carnets tenus au quotidien par l'écrivain français Georges Hyvernaud, durant ses cinq années de captivité en Allemagne de 1940 à 1945. Lire la suite

Ces abandons à la poisseuse déprime, ces décharges d'exaspération remontent aux années 35 à 50. Années de tristesse, de mensonge et de détention (en camp). Ces feuilles violentes s'abandonnent, mortes et glissantes, sous les pas. Le monde d... Lire la suite

Ces 228 lettres de Georges Hyvernaud à sa femme livrent un témoignage historique, d'un réalisme rare, sur la vie quotidienne dans les camps d'officiers prisonniers pendant la Seconde Guerre mondiale. Son unité de "pionniers"a été capturée par les... Lire la suite

Les textes offerts ici fouillent une autre plaie : celle de la dénonciation anonyme. Et Hyvernaud de rôder avec une rage gourmande autour du dénonciateur. Au cœur de l'action, on trouvera Chabrelu. Très exactement l'idée qu'on se fait d'un Chabrelu... Lire la suite