à croire qu'il ne s'est pas intéressé aux antispécistes et leurs motivations concrètes qui ne sont absolument pas de leur accorder les mêmes droits que l'humain mais reconnaitre leurs besoins fondamentaux propres..
Le propos, énervé, est hautement caricatural, très réducteur, voire à de nombreux endroits totalement erroné quand à son sujet, qu'il réduit à une unique posture ridicule, sans voire les complexités, intérêts, paradoxes et ouvertures qu'il propose. A éviter.
Juste point de vue sur une idéologie fondée sur la mièvrerie et dont on sous-estime les dangers y compris pour les animaux eux-même. A compléter par la lecture instructive des cahiers anti-spécistes (notamment les numéros 40 et 41).
Ariane Nicolas se veut journaliste. Sous des airs sympathiques, elle distille une idéologie environnementaliste traditionaliste et (créationniste inavouée) qui défend un statuquo. Confuse mais engagée contre les antispécistes, elle préfère considérer toute sorte de choses imaginaires plutôt que la vie réelle d'individus non humains. Serait-ce lui faire déshonneur que de résumer ses opinions par #TouchePasAMesProduitsAnimaux ?
Le propos du livre est délibérément caricatural.
Je précise sur un seul point : on peut être anti-spéciste et s'impliquer pour que la place des handicapés dans la société soit meilleure. Il s'agit d'une exigence de respect des êtres qui irrigue tout les êtres qui font notre monde.
De plus, la journaliste a mis en couverture des personnes qui n'ont pas donné leur accord. Quel manque de respect !
Quelle tristesse de présenter cette vision tronquée
Nicolas défend l'indéfendable en invoquant ses funestes idoles, Descartes et Kant, viandards notoires et gargantuesques, pour qui les animaux n'étaient que de vulgaires automates sans sentiments destinés à servir l'homme.
268 pages de généralisations, de raccourcis, de distorsions, d'aberrations, un plaidoyer en faveur de la barbarie où la scribouilleuse essaie de convaincre et surtout de se convaincre en faisant appel à la philosophie, l'art et la tradition, du bien fondé de l'exploitation et de la torture.
Entre tentatives d'humour ratées et idiotes ("Les pâtisseries sont fabriquées avec de la farine sans gluten, parfois mixée à du jus de pois chiche".), sophismes, citations ad nauseam et apologie du massacre d'êtres sentients, l'"autrice", outrageusement pédante, n'a honte de rien pour justifier sa consommation de rillettes Bordeau Chesnel et de Babybels estampillés bio, elle ira même jusqu' à maquiller ses intentions de vert "écologique" et de mauve "bien-être animal", shocking.
Manque d'empathie, d'humanité, de beauté, de vie (l'écriture scolaire et poussiéreuse est digne d'un contrôleur des impôts), nous sommes loin des Lumières, loin du sensible et du délicat, toujours proche du dogme, et on ne comprend malheureusement que trop bien et trop vite que Nicolas n'a pas compris grand chose à l'antispécisme, Ariane perd donc le fil et nous perd par la même occasion.
On s'étonnera cependant pour un premier essai de cette envergure de l'absence de préface d'un Didier Guillaume ou d'un Willy Schraen, mais rassurez-vous, l'esprit y est, Valeurs et Marianne vont A-DO-RER.
Amis de la vérité et des animaux, s'abstenir.
Lapinou B.
Rappelons qu'il n'existe pas de définition scientifique de la sentience, donc au fond on ne sait pas déterminer par un nombre de neurones défini, la présence d'un système nerveux, ce qui mérite d'être épargné ou pas. Ce sont les végans qui vont tuer des fourmis qui les dérangent dans leur jardin, et couper des végétaux, des êtres vivants.
Devant ce débat insoluble actuellement, l'auteure apporte des réponses utiles pour révéler les incohérences des 2 camps, spécistes et antispécistes.
En espérant un débat réfléchi un jour entre scientifiques, et non la farce médiatique actuelle laissée à des sectaires dont le projet est de donner des leçons, de faire carrière, et au final de se sentir meilleur que les autres pour combler leur vide intérieur.
Encore un livre dont il aurait suffit à l'auteur de lire le premier paragraphe de l'article dédié à l'antispécisme sur Wikipédia pour qu'elle évite de dire beaucoup de bêtises... Et ne parlons même pas des publications en philosophie, éthologie, économie, sociologie, etc. sur le sujet. Les idées de base de l'antispécisme étant complètement incomprises et déformées, le résultat est un gros hors sujet.
à côté de la plaque
à croire qu'il ne s'est pas intéressé aux antispécistes et leurs motivations concrètes qui ne sont absolument pas de leur accorder les mêmes droits que l'humain mais reconnaitre leurs besoins fondamentaux propres..
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caricatural, réducteur voire erroné
Le propos, énervé, est hautement caricatural, très réducteur, voire à de nombreux endroits totalement erroné quand à son sujet, qu'il réduit à une unique posture ridicule, sans voire les complexités, intérêts, paradoxes et ouvertures qu'il propose. A éviter.
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Très pointu!
Analyse très fouillée de tous les textes basiques des antispécistes, mettant en évidence incohérences et a priori.
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Juste regard
Juste point de vue sur une idéologie fondée sur la mièvrerie et dont on sous-estime les dangers y compris pour les animaux eux-même. A compléter par la lecture instructive des cahiers anti-spécistes (notamment les numéros 40 et 41).
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Passage à l'émission interdit d'interdire
Ariane Nicolas se veut journaliste. Sous des airs sympathiques, elle distille une idéologie environnementaliste traditionaliste et (créationniste inavouée) qui défend un statuquo. Confuse mais engagée contre les antispécistes, elle préfère considérer toute sorte de choses imaginaires plutôt que la vie réelle d'individus non humains. Serait-ce lui faire déshonneur que de résumer ses opinions par #TouchePasAMesProduitsAnimaux ?
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Caricature et désinformation
Le propos du livre est délibérément caricatural. Je précise sur un seul point : on peut être anti-spéciste et s'impliquer pour que la place des handicapés dans la société soit meilleure. Il s'agit d'une exigence de respect des êtres qui irrigue tout les êtres qui font notre monde. De plus, la journaliste a mis en couverture des personnes qui n'ont pas donné leur accord. Quel manque de respect ! Quelle tristesse de présenter cette vision tronquée
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Ariane perd le fil
Nicolas défend l'indéfendable en invoquant ses funestes idoles, Descartes et Kant, viandards notoires et gargantuesques, pour qui les animaux n'étaient que de vulgaires automates sans sentiments destinés à servir l'homme. 268 pages de généralisations, de raccourcis, de distorsions, d'aberrations, un plaidoyer en faveur de la barbarie où la scribouilleuse essaie de convaincre et surtout de se convaincre en faisant appel à la philosophie, l'art et la tradition, du bien fondé de l'exploitation et de la torture. Entre tentatives d'humour ratées et idiotes ("Les pâtisseries sont fabriquées avec de la farine sans gluten, parfois mixée à du jus de pois chiche".), sophismes, citations ad nauseam et apologie du massacre d'êtres sentients, l'"autrice", outrageusement pédante, n'a honte de rien pour justifier sa consommation de rillettes Bordeau Chesnel et de Babybels estampillés bio, elle ira même jusqu' à maquiller ses intentions de vert "écologique" et de mauve "bien-être animal", shocking. Manque d'empathie, d'humanité, de beauté, de vie (l'écriture scolaire et poussiéreuse est digne d'un contrôleur des impôts), nous sommes loin des Lumières, loin du sensible et du délicat, toujours proche du dogme, et on ne comprend malheureusement que trop bien et trop vite que Nicolas n'a pas compris grand chose à l'antispécisme, Ariane perd donc le fil et nous perd par la même occasion. On s'étonnera cependant pour un premier essai de cette envergure de l'absence de préface d'un Didier Guillaume ou d'un Willy Schraen, mais rassurez-vous, l'esprit y est, Valeurs et Marianne vont A-DO-RER. Amis de la vérité et des animaux, s'abstenir. Lapinou B.
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Enfin un avis pondéré
Rappelons qu'il n'existe pas de définition scientifique de la sentience, donc au fond on ne sait pas déterminer par un nombre de neurones défini, la présence d'un système nerveux, ce qui mérite d'être épargné ou pas. Ce sont les végans qui vont tuer des fourmis qui les dérangent dans leur jardin, et couper des végétaux, des êtres vivants. Devant ce débat insoluble actuellement, l'auteure apporte des réponses utiles pour révéler les incohérences des 2 camps, spécistes et antispécistes. En espérant un débat réfléchi un jour entre scientifiques, et non la farce médiatique actuelle laissée à des sectaires dont le projet est de donner des leçons, de faire carrière, et au final de se sentir meilleur que les autres pour combler leur vide intérieur.
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Une très mauvaise compréhension de l'antispécisme
Encore un livre dont il aurait suffit à l'auteur de lire le premier paragraphe de l'article dédié à l'antispécisme sur Wikipédia pour qu'elle évite de dire beaucoup de bêtises... Et ne parlons même pas des publications en philosophie, éthologie, économie, sociologie, etc. sur le sujet. Les idées de base de l'antispécisme étant complètement incomprises et déformées, le résultat est un gros hors sujet.
Cet avis vous a été utile ?